Caractérisé par une grande diversité dans sa structure et ses fonctions, il doit faire l’objet d’un suivi scrupuleux – notamment au niveau de ses toits. Chacun devant satisfaire, a minima, ses enjeux de sécurité, d’exploitation et de gestion, afin de préserver son capital patrimonial, voire répondre aux exigences sociétales actuelles.
Aujourd’hui, les bâtiments scolaires représentent près de la moitié du parc immobilier des collectivités territoriales – soit 51 000 écoles, collèges et lycées (9,9 millions de mètres carrés d’emprise au sol). Le reste est composé des bâtiments administratifs, des équipements sportifs ou socio-culturels.
En d’autres termes, les collectivités territoriales doivent gérer une grande diversité de toits et de matériaux, avec, a minima, des enjeux de sécurité et de bon fonctionnement, dans la mesure où la plupart de ces établissements sont amenés à accueillir du public.
Majoritairement construit avant 1975, ce parc immobilier est également grandement énergivore, puisqu’il représente un tiers des volumes de CO2 émis à l’échelle nationale, et 84 % des émissions à l’échelle des collectivités (contre 11 % pour les carburants et 5 % pour l’éclairage public).[1]
Dans le parc immobilier des collectivités territoriales, on distingue 3 grands types de bâtiments : les établissements recevant du public, les locaux techniques et les locaux commerciaux. Cette typologie entraîne des réglementations différentes – notamment en matière de respect des règles de sécurité incendie, de la présence de garde-corps en fonction des usages du toit, etc.
Cas particulier des Monuments historiques appartenant à une collectivité : la loi du 25 février 1943 fixe un périmètre de 500 mètres de rayon autour, impliquant une demande d’autorisation de travaux auprès de l’Architecte des Bâtiments de France. La gestion des toits, le cadre des interventions et les matériaux mis en œuvre, sont alors conditionnés à leur approbation.
Généralement, le couvreur-zingueur intervient sur un toit en pente (de 5° à 75°), quand l’étancheur œuvrera davantage sur un toit plat ou peu incliné (0 à 5°). À La Compagnie des Toits, nous réunissons l’expertise de ces deux métiers – ce qui nous permet d’aborder chaque toit en fonction de ses particularités propres et non selon les limites potentielles d’un savoir-faire.
Face à la diversité des fonctions et structures de ce parc immobilier, nous pouvons gérer l’ensemble des problématiques rencontrées. Indépendamment des urgences, nous préconisons la réalisation d’audits techniques, pour déterminer les meilleures interventions à réaliser et surtout, les prévoir dans un calendrier qui sied à la collectivité.
Avec de nombreuses agences de proximité en France, l’enseigne nationale La Compagnie des Toits accompagne depuis 2014 de nombreuses collectivité & administrations dans la gestion de leurs toitures. En d’autres termes, nous conjuguons une solide expérience sur les toits professionnels et une présence locale.
Assuré par des agences et des équipes experts, ce développement national garantit cette proximité requise pour « maîtriser » un secteur géographique ! Les collectivités locales peuvent alors profiter d’une réponse géolocalisée, adaptée aux us et coutumes professionnels, mais aussi aux spécificités du secteur et de ses conditions climatiques.
La Compagnie des toits a également construit son développement sur des services différenciants, parmi lesquels figure celui de satisfaire l’une des principales exigences de nos clients : une réponse rapide à leurs sollicitations – que ce soit pour traiter une urgence, une demande complexe ou autres.
Nous garantissons une prise de rendez-vous sous 24h et une possibilité d’interventions sous 48h (sous réserve du contexte, de la configuration et des conditions climatiques).
Définitivement vieillissant, le parc immobilier des collectivités territoriales doit – avant toute chose – satisfaire les enjeux de sécurité. Essentiels, ils couvrent, aussi bien les conséquences d’un toit qui se dégrade (dégât des eaux, risque de chutes de matériaux, risques sur les occupants et visiteurs…), que les interventions sur toitures qui relèvent de la responsabilité du maire.
Parallèlement, les collectivités territoriales doivent répondre aux enjeux d’exploitation de leur parc. Tout défaut entraîne des risques d’arrêt d’activité et de diminution de la capacité d’accueil.
À La Compagnie des Toits, nous travaillons également à l’étude de vos besoins, nous sommes à l’écoute des réalités du terrain, pour imaginer une réponse technique adaptée. Une bonne gestion de vos toits permet de réduire les budgets, aujourd’hui, tout en pérennisant l’existant ! Il s’agit d’anticiper les budgets, à moyen et à long terme, pour avancer sereinement.
En règle générale, nous prônons l’entretien préventif plutôt que le curatif. Dans cet esprit, nous préconisons la souscription d’un contrat de maintenance pour assurer un suivi régulier et limiter les travaux non budgétés. Nous pouvons aussi préconiser des solutions simples à mettre en place, comme les pics anti-volatiles pour limiter leurs dégâts en toiture.
Un entretien régulier reste la meilleure approche, pour préserver la valeur patrimoniale du bâtiment. Mais La Compagnie des Toits peut aussi accompagner les collectivités territoriales dans la satisfaction d’enjeux sociétaux, comme ceux de la rénovation énergétique de son parc.
Ensemble, nous pouvons aussi construire un plan d’interventions pour satisfaire potentiellement de nouveaux usages – toits circulables, toits végétalisés, toits productifs (rucher, potager…), etc.
Des ardoises détachées du toit de l’église, un élément de toit de la mairie menace de tomber, une classe fermée à cause d’infiltrations, un complexe sportif trop sombre, des volatiles qui dégradent la salle polyvalente, un lycée hors des normes sécuritaires… sont des situations fréquemment rencontrées, dans le quotidien des collectivités territoriales. Pour chacune d’entre elles, La Compagnie des Toits peut apporter une réponse adaptée, rapide et durable.
Ne tardez plus, contactez l’agence de votre secteur, entamez le dialogue dès maintenant. Le toit demeure l’un des maillons vitaux d’une construction.
[1] Source des chiffres : https://www.senat.fr/lessentiel/ppl22-922.pdf
